La communication non verbale
Quand on s’exprime, il y a ce qu’on dit, comment on le dit, et ce qu’on cherche à dire quand on le dit de cette façon. Le langage non verbale représenterait 75% de la communication.
Quand on s’exprime, il y a ce qu’on dit, comment on le dit, et ce qu’on cherche à dire quand on le dit de cette façon. Le langage non verbale représenterait 75% de la communication.
C’est quand l’énergie vient à manquer que s’opère le moment de désillusion. L’attention ne pouvant plus être détournée par des distractions, elle se dirige spontanément vers ce qui interpelle le plus : ce manque « d’être » en Soi, le fameux « vide intérieur ». Comment le combler en profondeur ?
Jusqu’à mes 28 ans, mon hypersensibilité (négligée) et mes vagues émotionnelles me poussaient vers des thérapies toujours plus diversifiées. C’est grâce à la validation existentielle offerte par la Maïeusthésie s’opère pour moi le grand changement intérieur.
La satisfaction des besoins physiologiques et psychosociaux ne suffisent pas à rendre un Etre heureux. Les besoins ontiques, existentiels, tels que la capacité à se percevoir dans le regard d’autrui, se sentir considéré et reconnu sont des besoins fondamentaux.
Le « Soi que l’on est » est totalement différent du « Moi que l’on joue socialement ». Entre se conformer ou briller, le tiraillement reste dans le jeu du PARAÎTRE. Comment oser et gouter les bénéfices de l’authenticité ?
« C’est quand on est vraiment écouté qu’on s’écoute vraiment. » Mais comment est-il possible de se sentir entendu, de se sentir rejoint, si l’on peine déjà à être vu ? La véritable écoute, celle de la reconnaissance, n’est pas : une simple manifestation de la compréhension verbale de ce qui vient d’être partagé, ni un processus orienté problème/solution. La Maïeusthésie accorde une place toute particulière à la dimension existentielle, si souvent négligée et pourtant omniprésente dans nos échanges au quotidien.
Émotivité ? Et si on développait la culture de l’écoute de Soi ? Cela démarre par ne pas se nier et reconnaitre ce qui est. Reconnaitre « ce qui est », c’est écouter ce qu’il se passe en nous et en l’autre, sans dramatisation ni dérision.
J’ai vécu l’une de mes plus belles séances d’auto thérapie dans l’accueil d’une part de moi-même aussi bien stressée à l’idée de répondre à l’injonction sociale (maintenir l’image reconnue), que de ne pas y répondre : quel est ce « no man’s land » dans lequel nous atterrissons quand nous ne confirmons pas notre place ? Dans cet article, j’ai à cœur de parler de la communication intrapersonnelle.
L’écopsychologie est une invitation à la rencontre avec notre intériorité et de manière fractale, avec notre environnement. A l’occasion de la Journée Mondiale de la Santé, l’OMS choisi d’évoquer notre lien Homme-Nature.