Trauma et symptômes : une nouvelle étiologie en psychothérapie

« Le symptôme résulte, non pas des évènements antérieurs, mais d’une fracture intérieure entre l’individu tel qu’il est aujourd’hui et celui qu’il était au moment de ces évènements. »
Le but en psychothérapie n’est pas « d’éliminer », mais de rétablir un manque de lien de Soi à Soi. Le projet thérapeutique consiste alors non pas à trouver une « solution » (un problème à éradiquer), mais à permettre une médiation : une rencontre avec Soi pour un retour vers l’intégrité.
Dans une culture qui fait tomber tout symptôme dans un a priori pathologique, je suis heureuse de proposer un accompagnement personnalisé vers une remédiation, en dehors des diagnostics.
La satisfaction des besoins physiologiques et psychosociaux ne suffisent pas à rendre un Etre heureux. Les besoins ontiques, existentiels, tels que la capacité à se percevoir dans le regard d’autrui, se sentir considéré et reconnu sont des besoins fondamentaux.
« La Vie est comme le Kaléidoscope, elle offre de nouveaux panoramas, à chaque instant. » La Maïeusthésie est une nouvelle approche de la psychothérapie qui permet de guérir des blessures du passé sans reviviscence des traumas. Elle offre une place particulière à la dimension existentielle qui permet de rétablir une intégrité et de déployer son authenticité, en confiance et partenariat avec le vivant en Soi.
Pour remédier aux addictions, il y a à parvenir à une complétude avec soi-même. Il y a à accompagner notre propre individuation vers une pleine existence. Ce faisant, les compensations deviennent obsolètes.
Et si chacune de nos pensées, de nos actions et de nos ressentis s’inscrivait dans un processus intelligent ? Et s’il était possible d’accéder à cette pertinence ? C’est avec ce regard innovant que la Maïeusthésie aborde les symptômes. C’est avec une grande sensibilité que j’accompagne en psychothérapie à Toulouse.
« Une partie de l’Être reste en éveil tandis que l’autre, la partie sensible, disparaît littéralement sous le choc […] Il est devenu deux, […]. » Sandor Ferenczi.
La reviviscence du trauma ne libère pas. Mais comment en tenir compte sans pour autant générer de la reviviscence ?