Un parcours atypique : d’Ingénieur à Thérapeute
Oser une bifurcation atypique
Le défi de choisir
“J’ai toujours côtoyé une difficulté particulière à faire des choix. Car choisir, c’est réussir à célébrer une voie en faisant le deuil de toutes les autres. Il est naturel dans ma vie d’expérimenter des bifurcations tout à fait atypiques.”
J’ai opté pour les études d’ingénierie qui laissent les portes ouvertes. J’ai décroché mon premier job en R&D agroalimentaire à Toulouse. Je me découvrais une réelle passion pour le Management de la confiance, mais un désintérêt croissant pour les chiffres et les machines qui remplissaient mon quotidien. Seul l’enchaînement des performances sportives était l’exutoire pour des émotions liées à une Hypersensibilité malvenue dans le monde de l’industrie, et un HPI à l’époque ignoré.
Le fonctionnement atypique : une intensité à plusieurs niveaux
En trois ans, après 10 déménagements dans la Ville Rose, l’exploration d’une trentaine de sports différents (allant du trail au trapèze volant) et du bénévolat dans deux associations différentes, je m’écroule au travail.
Un voyage plus initiatique que touristique. Dans un soucis d’écologie extérieure, je me tourne vers l’écologie intérieure. Je découvre la Maïeusthésie, psychologie de la pertinence. L’accompagnement grâce à la thérapie brève me déleste des compensations coûteuses en énergie et générant les symptômes depuis l’enfance : insomnie, angoisses et rumination mentale. Elle me fait accéder à une atmosphère intérieure jusqu’alors inconnue : l’accès à une joie sereine. Se former dans cette voie devenait alors une évidence. Aujourd’hui je suis psychopraticienne certifiée et j’accompagne les personnes atypiques à renouer avec leur profondeur, authenticité et leur permettre un déploiement de leur plein potentiel.
