La dimension existentielle d’un vécu

Ce qui crée le moment thérapeutique n’est pas la reviviscence d’une circonstance difficile, mais l’ouverture à la dimension existentielle sous-jacente du vécu.
Pour cela il convient de ne plus mêler l’individu qui a vécu l’événement à l’événement lui-même.
En Maïeusthésie, nous clarifions la différence qu’il y a entre ce qui est arrivé (le circonstanciel, l’événement, mesurable et estimable) et celui qui l’a vécu (l’existentiel, l’individu de valeur toujours inestimable).
Faire exister ceux qu’on a été en tant que Sujets change le prisme de perception d’un vécu : nous nous ouvrons à nous-même, sans régression.
Nous passons d’un état d’affect à un état communicant, garant d’une sécurité et d’une paix intérieure durable avec son histoire personnelle.


